top of page
Photo Baudouin.jpeg

 

BAUDOUIN KUTUKA

​

Baudouin Kutuka est géographe environnementaliste avec plus de 24 années d’expérience en développement local et international. Né d’une famille chrétienne, il a connu la Foi Baha’ie en 1987 alors qu’il était étudiant à l’Université de Lubumbashi en RD Congo. En 1991, il déclare sa Foi en Baha’u’LLah, le fondateur de la foi Baha’ie. En 1994, il quitte son pays, la RDC, pour servir comme pionnier en Angola et en République Centrafricaine.

 

M. Kutuka est membre de l’Assemblée Spirituelle Baha’ie de Montréal depuis 2011. Il est aussi membre du Forum Baha’i pour l’Environnement (Environmental Baha’i Forum) , un organisme international des professionnels Baha’is pour l’environnement et le développement durable..

 

Depuis 2010, M. Kutuka est cofondateur et directeur général du partenariat pour le développement des communautés, le PARDEC, un organisme canadien de bienfaisance et de solidarité internationale dont le siège est à Montréal. 

Dans la foi Baha’ie, la fraternité universelle tire son fondement de l’un des principes sacro-saints énoncés par Baha’u’llah qui dit : 

« La terre n’est qu’un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens ». Ce principe traduit la ferme conviction qu’avait Baha’u’llah, selon laquelle l’humanité forme une seule et même famille et que le moment est venu pour elle de s’unir en une société mondiale. Ceci implique une transformation des individus et des relations qui structurent la société.

Maïna_et_Gilles.jpg

MAINA BAKHOS ET GILLES AUBIN

​

Maïna et Gilles sont un couple marié depuis 24 ans. Ils ont trois enfants maintenant adultes. Ils sont membres actifs du Mouvement des Focolari depuis plusieurs années. Apôtres de l'unité et de la fraternité, ils trouvent dans la spiritualité des Focolari de quoi nourrir et enrichir leur vie spirituelle. Ils y vivent un esprit de famille où l'amour est la base de toute relation. L'autre est un frère qui ne demande qu'à être aimé et l'amour vécu de façon réciproque permet de découvrir un visage de Dieu, qui est Amour infini. 

​

 

LE MOUVEMENT DES FOCOLARI

Le mot italien focolari signie feu, foyer.

​

​

Tout a débuté en 1943, dans la ville de Trente en Italie. En pleine guerre mondiale, une jeune fille de 23 ans, Chiara Lubich, réalise que Dieu est le seul pour qui la vie vaut la peine d'être vécue. Elle décide de centrer sa vie sur l'Évangile avec un premier groupe de jeunes filles qui l'ont suivie. Dans les abris antiaériens, elles n'emportent que ce petit livre. Elles l'ouvrent un jour sur cette phrase du Testament de Jésus : "Que tous soient un" (Jn 17, 21) qui deviendra leur idéal et qui donnera naissance à la spiritualité de l'unité qui est spécifique au Mouvement des Focolari. 

​

Aujourd'hui, le Mouvement des focolari est présent dans 182 pays, il compte environ deux millions d'adhérents et de sympathisants en majorité catholiques. En font aussi partie à des titres divers des milliers de chrétiens de 350 Églises et communautés ecclésiales, beaucoup de fidèles d'autres religions parmi lesquels des juifs, des musulmans, des bouddhistes, des hindous, des sikhs... et aussi des personnes sans option religieuse. 

​

Au Québec, le Mouvement organise des rencontres autour de la "Parole de Vie", autour de l'"Économie de Communion", des rencontres régulières pour les familles et une rencontre d'été ouverte à tous. 

 

 

"Nous devons, avant tout, fixer notre regard sur l'unique Père de tant de fils. Puis regarder toutes les créatures comme enfants de ce Père unique. Dépasser sans cesse par la pensée et par le coeur toutes les limites imposées par la vie (seulement) humaine et prendre l'habitude de tendre constamment vers la fraternité universelle en un seul Père qui est Dieu. Jésus, notre modèle, nous a enseigné deux choses, qui n'en font qu'une : être fils d'un seul Père et être frères les uns des autres".   Chiara Lubich

​

​

www.focolare.org/fr/focolare-worldwide/america-nord-e-centrale/canada

​

​

​

bottom of page